Si vivre avec des hémorroïdes est facile pour des personnes adultes, il n’en demeure pas moins que le ressenti d’un adolescent qui en souffre est particulièrement négatif.
Au moment de la puberté, les adolescents se recentrent sur eux-mêmes et sur le pubis. Tout ce qui peut se passer autour de cette partie du corps est perçu par les adolescents comme honteux, dégradant ou grave.
En effet, si statistiquement les crises hémorroïdaires surviennent avec l’âge, certaines personnes échappent à cette règle, les adolescents les premiers. Le dialogue pouvant déjà être difficile, l’existence d’un terrain hémorroïdaire ne pourra être que source de tension, d’agressivité et de repli sur soi.
Il est évident qu’il est difficile pour les parents de détecter les signes d’alerte. C’est un travail de longue haleine, d’éducation et de confiance. Du point de vue de l’adolescent, certains paniquent, d’autres vont réagir en cachant leur mal à leur famille.
Cela paraît donc évident qu’un diagnostic établi par le médecin traitant s’avère nécessaire pour dédramatiser la situation. Quelques signes peuvent apparaître : saignements présents sur les sous-vêtements, temps passé aux toilettes plus important que d’habitude, tendance à trépigner de colère, impossibilité pour lui de rester assis longtemps…
Si vous détectez un de ces signes, cassez le tabou et engagez la discussion. Au risque de passer ridicule auprès de votre enfant, la tentative aura au moins le mérite de montrer que vous lui accordez de l’importance et que vous vous souciez de sa santé. Il peut être préférable parfois d’insister car un adolescent vous répondra négativement à la première demande du fait de cette honte. Dites-lui que c’est quelque chose de bénin la plupart du temps et qui se prend en charge facilement et rapidement.
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